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Le cartographe, Varsovie, 1/400 000,  écrit par Juan Mayorga 

La pièce de Mayorga raconte l’histoire de trois femmes cartographes. Chacune est reliée à un espace temps qui lui est propre mais qui évolue parallèlement aux autres.
    En 1940, dans le ghetto de Varsovie, nous suivons la vie d’un vieil homme et d’une petite fille. Lui, ancien cartographe, trop vieux pour réaliser son ultime carte, celle du ghetto, confie cette mission à cette fillette qui pourrait être sa petite fille.
Il lui transmet alors l’art et les secrets de la cartographie. La petite fille va alors sortir dans le ghetto en proie aux dangers et dessiner cette carte. 
    En parallèle, à notre époque, nous rencontrons Blanche, venue à Varsovie avec son mari. À la suite d’une exposition sur le ghetto de Varsovie, Blanche se découvre une passion pour la cartographie et la légende de la fillette cartographe de Varsovie. À travers ses parcours et ses rencontres, elle devient une cartographe et dessine sa propre carte.
    Déborah est cartographe et est née à l’époque du ghetto, c’est le personnage qui lie ces deux époques. Elle pourrait être la fillette mais le nie. 
Le cartographe : une pièce sur la mémoire, le témoignage, la trace de notre histoire. Dans la pièce, la carte est le centre de l’intrigue. C’est le coeur du texte.

OU

POLOGNE

GHETTO

QUAND

QUI

SEQUENCAGE

RAPPORT ACTEURS/ SPECTATEURS

RELATION DE PROXIMITE

LUMIERE

ESPACE SCENIQUE

PARTI PRIS

La scénographie s’appuie sur l’association d’une toile de fond et d’un espace commun, une plateforme. Le dispositif permet de lier, de travailler la relation entre les deux époques de la pièce.
Par ce dispositif permettre à chaque spectateur de s’immerger dans l’histoire, de voyager et d’être touché par la légende du ghetto.
Tout au long de la pièce, l’histoire, l’enquête, les parcours évoluent. Je voulais refléter cette idée d’avancement, d’évolution et travailler le déploiement, de changement du dispositif.

La plateforme devient un nouveau espace scénique qui permet de situer certains espaces décrit dans le texte, amener des éléments physiques cités dans le texte.

La toile de fond se transforme en support de transmission des différents parcours de chaque cartographe. Elle devient également une surface de projection pour la lumière.

PLAN

COUPE

L'ESTRADE mobile pour la représentation de l'espace du grand-père et de la petite fille.

Les GRADINS

LA TOILE

La toile découpé en carreaux, comme les pavées de la villes. Au fil de la pièce la toile évolue et se transforme en carte.

LUMIERE et ATMOSPHERE selon les actes

DEBUT de la PIECE

Installation du public sur les bancs collectifs.

La scène est plus éclairée que les gradins.

Arrivé des comédiens

CIRCULATIONS SPECTATEURS

CIRCULATIONS ACTEURS

DEPLACEMENTS de DEBORAH au cours de l'évolution de la pièce

VOIX OFF

Voix off avec les paroles de la petite fille, pendant ces paroles, le fond se met en mouvement.

DISDACALIES

Pour les didacalies on joue sur le blanc et le noir. On travaille le silence et le bruit du sifflet sur quelques images. On provoque la focalisation de tous les regards sur ce tableau en arrêt. On crée alors un tableau intemporel, sans précision d’espace et de temps. 

EVOLUTION de la PIECE

Séquence 1

Séquence 11

Séquence 14

Séquence 8

Séquence 12

L'image de la carte du ghetto projetée à la fin sur la peinture réalisée.

FIN de la PIECE

À la fin de la pièce, les lumières restent allumées, seuls les acteurs partent. La carte reste visible de tous, laissant son témoignage devant le public.

La dernière disdacalie peut être jouer sur la toile de fond sur un des carrés.

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